Autoportrait, bâillement(Self-Portrait, Yawning) |
Joseph Ducreux |
Peinture Portrait |
Autoportrait, bâillement - Joseph Ducreux 1783 · Öl auf Leinwand · ID de la peinture: 14333 |
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5/5 · Afficher les commentaires (6)
01.05.2018
david O.
Reproduction artistique sur Toile brillante, 80cm x 105cm, étirée sur une civière.
19.10.2017
Artur G.
Reproduction artistique sur Toile brillante, 99cm x 130cm, étirée sur une civière. Avec cadre photo .
02.10.2017
Mike T.
excellent
Reproduction d'art sur Papier photo glacé., 53cm x 70cm.
30.07.2018
Sarala A.
Je dois bâiller chaque fois que je regarde cette photo. C'est pourquoi ça pend dans ma chambre :)
(Traduction automatique) Texte original: Ich muss jedesmal gähnen wenn ich dieses Bild ansehe. Deshalb hängt es auch bei mir im Schlafzimmer :)
Reproduction artistique sur Toile brillante, 48cm x 63cm, étirée sur une civière.
28.11.2020
Lydia M.
Reproduction artistique sur Toile Satin, 48cm x 63cm, étirée sur une civière.
29.11.2020
Lydia M.
Reproduction artistique sur Toile Satin, 15cm x 20cm, étirée sur une civière. Avec cadre photo .
|
Joseph Ducreux, né en 1735, est un portraitiste qui a capturé à la fois la ressemblance de l'aristocratie autrichienne et celle des jacobins français sur le grand écran. Il a peint Marie-Antoinette et plus tard les responsables de leur exécution, Robespierre et St. Just. En 1769, il est appelé à Vienne, peint la noblesse de la ville, devient membre de l'Académie de Vienne et se retire à Londres au début de la Révolution française, où il échoue. En 1793, il s'installe dans un appartement du Louvre à Paris et peint entre autres personnalités de la révolution. Cet autoportrait original vient de la période viennoise. Peut-être est-ce une expression du malaise et de l’ennui de l’aristocratie dépassée dont le temps s’achève? La posture ressemble à un arc tendu, les bras aussi, étirés, ressemblent à l'attitude du tir à l'arc. L'expression de l'artiste est tendue, ses yeux plus agressifs que fatigués. Une ambiance qui est toujours soutenue par la jupe rouge. Cependant, le fond de traînées ou de brouillards gris clair et gris foncé témoigne du bâillement de la mélancolie et de la lassitude. Le peintre se présente comme un individualiste ennuyé mais puissant qui maîtrise son art quel que soit son origine. Aristocratique ou révolutionnaire. © Meisterdrucke |
Autoportrait, bâillement(Self-Portrait, Yawning) |
Joseph Ducreux |
Peinture Portrait |
Autoportrait, bâillement - Joseph Ducreux 1783 · Öl auf Leinwand · ID de la peinture: 14333 |
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01.05.2018
david O.
Reproduction artistique sur Toile brillante, 80cm x 105cm, étirée sur une civière.
19.10.2017
Artur G.
Reproduction artistique sur Toile brillante, 99cm x 130cm, étirée sur une civière. Avec cadre photo .
02.10.2017
Mike T.
excellent
Reproduction d'art sur Papier photo glacé., 53cm x 70cm.
30.07.2018
Sarala A.
Je dois bâiller chaque fois que je regarde cette photo. C'est pourquoi ça pend dans ma chambre :)
(Traduction automatique) Texte original: Ich muss jedesmal gähnen wenn ich dieses Bild ansehe. Deshalb hängt es auch bei mir im Schlafzimmer :)
Reproduction artistique sur Toile brillante, 48cm x 63cm, étirée sur une civière.
28.11.2020
Lydia M.
Reproduction artistique sur Toile Satin, 48cm x 63cm, étirée sur une civière.
29.11.2020
Lydia M.
Reproduction artistique sur Toile Satin, 15cm x 20cm, étirée sur une civière. Avec cadre photo .
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Joseph Ducreux, né en 1735, est un portraitiste qui a capturé à la fois la ressemblance de l'aristocratie autrichienne et celle des jacobins français sur le grand écran. Il a peint Marie-Antoinette et plus tard les responsables de leur exécution, Robespierre et St. Just. En 1769, il est appelé à Vienne, peint la noblesse de la ville, devient membre de l'Académie de Vienne et se retire à Londres au début de la Révolution française, où il échoue. En 1793, il s'installe dans un appartement du Louvre à Paris et peint entre autres personnalités de la révolution. Cet autoportrait original vient de la période viennoise. Peut-être est-ce une expression du malaise et de l’ennui de l’aristocratie dépassée dont le temps s’achève? La posture ressemble à un arc tendu, les bras aussi, étirés, ressemblent à l'attitude du tir à l'arc. L'expression de l'artiste est tendue, ses yeux plus agressifs que fatigués. Une ambiance qui est toujours soutenue par la jupe rouge. Cependant, le fond de traînées ou de brouillards gris clair et gris foncé témoigne du bâillement de la mélancolie et de la lassitude. Le peintre se présente comme un individualiste ennuyé mais puissant qui maîtrise son art quel que soit son origine. Aristocratique ou révolutionnaire. © Meisterdrucke |